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Les Voix interieures
(1837)
Victor Hugo
(1802–85)
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Les Voix interieures
(1837)
Dédicace
Ce siècle est grand et fort. Un noble instinct le mène
Sunt Lacrymae Rerum
Il est mort. Rien de plus. Nul groupe populaire
Sombres canons rangés devant les Invalides
Vous vous taisez. — Mais moi, moi dont parfois le chant
Oh! que Versailles était superbe
Qui leur eût dit alors l’austère destinée?
Dans ces temps radieux, dans cette aube enchantée
Quel rêve horrible! — C’est l’histoire
Charles Dix! — Oh! le Dieu qui retire et qui donne
Repose, fils de France, en ta tombe exilée!
Nous, pasteurs des esprits, qui, du bord du chemin
Quelle est la fin de tout? la vie, ou bien la tombe?
A l’Arc de Triomphe
Toi dont la courbe au loin, par le couchant dorée
Oh! Paris est la cité mère!
Il se taira pourtant! — Après bien des aurores
Arche! alors tu seras éternelle et complète
Non, le temps n’ôte rien aux choses
Mais, hélas! hélas! dit l’histoire
Mais toi! rien s’atteindra ta majesté pudique
Oh! dans ces jours lointains où l’on n’ose descendre
Dieu est toujours là
Quand l’été vient, le pauvre adore!
Mais hélas! juillet fait sa gerbe
Oh! que l’été brille ou s’éteigne
Oh! vivons! disent-ils dans leur enivrement
A Virgile
Venez que je vous parle, ô jeune enchanteresse!
Pendant que la fenêtre était ouverte
A Albert Dürer
Puisqu’ici-bas toute âme
A Ol
Jeune homme, ce méchant fait une lâche guerre
Avril — A Louis B.
La Vache
Passé
Soirée en mer
Dans Virgile parfois, dieu tout près d’être un ange
A un riche
Regardez: les enfants se sont assis en rond
Dans ce jardin antique où les grandes allées
A des oiseaux envolés
A quoi je songe? — Hélas! loin du toit où vous êtes
Une nuit qu’on entendait la mer sans la voir
Tentanda via est
Jeune fille, l’amour, c’est d’abord un miroir
Après une Lecture de Dante
Pensar, Dudar
A Eugène Vicomte H.
A Olympio
La tombe dit à la rose
O Muse, contiens-toi! muse aux hymnes d’airain!