SonnetMarySans trop d’ardeur à la fois enflammantLa rose qui cruelle ou déchirée et lasseMême du blanc habit de pourpre le délacePour ouïr dans sa chair pleurer le diamantOui sans ces crises de rosée et gentimentNi brise quoique, avec, le ciel orageux passeJalouse d’apporter je ne sais quel espaceAu simple jour le jour très vrai du sentimentNe te semble-t-il pas, Mary, que chaque annéeDont sur ton front renaît la grâce spontanéeSuffise selon quelque apparence et pour moiComme un éventail frais dans la chambre s’étonneÀ raviver du peu qu’il faut ici d’émoiToute notre native amitié monotone.