IV. Il faut, voyez-vous, nous pardonner les chosesDe la douceur, de la douceur, de la douceur.(Inconnu)Il faut, voyez-vous, nous pardonner les choses:De cette façon nous serons bien heureusesEt si notre vie a des instants morosesDu moins nous serons, n’est-ce pas? deux pleureuses.O que nous mêlions, âmes soeurs que nous sommes,A nos voeux confus la douceur puérileDe cheminer loin des femmes et des hommes,Dans le frais oubli de ce qui nous exile!Soyons deux enfants, soyons deux jeunes fillesEprises de rien et de tout étonnéesQui s’en vont pâlir sous les chastes charmillesSans même savoir qu’elles sont pardonnées.